Extrait d'une conférence donnée en 1999 par Phobol Cheng
Phobol Cheng est un témoin clé dans l’affaire Billy Meier.
Bien avant 1975, date où les contacts furent rendus publics, elle a connu Billy Meier alors qu’elle était enfant, il était alors en apprentissage chez son grand père, Banthe Dharmavara Mahathera, pour étudier la méditation à l’Asoka Ashram, en Inde.
Son témoignage est d’autant plus fort que son grand père était un guérisseur réputé et l'une des personnalités les plus importantes du bouddhisme en Inde.
Phobol Cheng elle-même, est devenue diplomate aux Nations Unies et n’a pas voulu témoigner publiquement tant que sa carrière diplomatique n’était pas terminée.
Son témoignage est corroboré par un article publié en 1964 dans un journal indien, the New Statesman.
Cet article, fut découvert plus tard par Timothy Good, musicien passionné d’ufologie, qui transmit l’information à l’ufologue Lou Zinsstag (par ailleurs cousine de Carl Jung). Cette dernière, réfractaire au discours de Billy Meier mais impressionnée par ses photos, révéla l’affaire à l’ufologue Wendelle Stevens.
Celui-ci entreprit plus tard une longue enquête sur Billy Meier et fut à l’origine du documentaire « Contact ».
Tout ceci est expliqué dans le livre « Les années lumière » de Gary Kinder.
Extrait du livre « Les Années Lumière » de Gary Kinder.
Au début de l’automne 1964, Timothy Good était en tournée en Inde avec le London Symphony Orchestra dont il était un violoniste. Fils de violoniste, Good avait commencé à jouer du violon dès l'âge de cinq ans et avait ensuite étudié pendant quatre ans à la Royal Academy of Music de Londres. A présent âgé de vingt-deux ans, il était premier violon dans le London Symphony Orchestra depuis un an. Cette tournée indienne, qui pour lui était sa première tournée, allait l'emmener pendant plusieurs semaines à travers les principales villes du pays.A New Delhi, l'orchestre descendit à l'Ashoka Hôtel. Une après-midi entre la fin d'une répétition et le début du concert, Good partit musarder dans une boutique d'art qui avait attiré son attention dans les couloirs de l'hôtel. Il avait été touché par plusieurs tableaux et en particulier par une collection de portraits à l'huile représentant plusieurs personnalités indiennes dont Nerhu et Gandhi entourés d'une aura pâle. Alors qu'il regardait dans la vitrine du magasin, une femme s'approcha et l'invita à y pénétrer.
Good entra dans la boutique et apprit que cette femme avait peint elle-même ces portraits insolites. Elle s'appelait Elizabeth Brunner. Ils parlèrent longtemps ensemble des peintures et de l'inspiration de Brunner ; la conversation tourna ensuite sur des sujets métaphysiques pour en arriver au passetemps favori de Good, l'étude des OVNI.
Au milieu des années 50, alors qu'il était adolescent, Good avait été fasciné par l'existence d'objets volants auxquels personne ne pouvait donner d'explications. Des pilotes en avaient vus plusieurs et les radars avaient confirmé leurs observations. Cependant, ces objets manœuvraient à des vitesses largement supérieures à celles des avions les plus rapides. Good, comme tant d'autres personnes, se demandait si les Gouvernements des divers pays ne savaient pas beaucoup plus de choses à propos de ces objets mystérieux que ce qu'ils laissaient entendre auprès du public. Grâce à cette tournée tout autour de la terre, il avait l'opportunité d'étudier tous les rapports sur les OVNIS et les contacts. Alors qu'il parlait plus en détail de son passe-temps avec Elizabeth Brunner, il eut la sensation qu'elle aussi croyait à l'existence de sociétés extraterrestres qui venaient de temps à autre sur la Terre. Après quelque temps, elle lui fit une suggestion qui l'interrogea beaucoup.
Good se souvenait de ce qu'elle lui avait dit : « Vous auriez du rencontrer ce type qui est tombé amoureux d'une femme de l'espace. Il vient juste de quitter l'Inde ».
Par malchance pour Good, l'homme en question venait juste d'être renvoyé d'Inde depuis quelques jours, pour un motif financier : il n'avait plus d'argent avec lui. Brunner soupçonnait une autre raison ; elle s'en confia à Good qui dit par la suite : « Elle sentait que c'était dû au fait qu'il parlait trop ; on ne parle pas de ces choses-là en Inde. Elle me conseilla de ne pas aborder ce sujet en public dans ce pays et sous aucune condition. »
Puis Brunner montra à Good un article du « Statement », un journal de New Delhi daté du 30 Septembre 64 qui titrait : «L'Homme aux Soucoupes Volantes quitte l'Inde Un Suisse prétend avoir visité trois Planètes ».
Good commença à lire. L'article donnait à cet homme le pseudonyme d'Eduard Albert. Il avait été trouvé à Mehrauli, près du Vihara du Bouddha, assis et nu dans une des cavités du monument. L'homme avait vécu ainsi pendant cinq mois, depuis son arrivée en Inde.
« Monsieur Albert a plutôt l'air bizarre, avait écrit le journaliste. Mais il n'est pas avare de paroles pour faire état de ses expériences qui, à tout le moindre, sont assez remarquables. Cependant, le peu qu'il ait à dire doit tout de même lui être soutiré. Il ne désire aucune publicité et n'a que faire d'être cru ou non. »
L'homme avait révélé au journaliste : « Non seulement, j'ai vu ces objets venant de l'espace, mais je les ai photographiés et j'ai même voyagé avec eux». Il montra au journaliste quelques quatre-vingts photographies « prises avec un appareil à soufflet et conservées soigneusement dans un album ». Mais lorsque celui-ci lui demanda deux ou trois photographies à publier avec l'article, il refusa poliment de les lui donner. Il lui dit : « Je n'arrive pas à les garder, j'en avais plus de quatre cents mais la plupart m'ont été volées en Jordanie et en Inde ».
Le journaliste, se trouvant dans l'impossibilité de montrer des photos à ses lecteurs, prit des notes sur celles-ci après avoir parcouru l'album et en donna un résumé descriptif. « Les objets photographiés varient de taille et de forme, écrivait-il ; l'un d'entre eux est un objet globulaire avec un disque au milieu ; un autre ressemble plutôt à un entonnoir ;
un troisième est comme une lampe néon, un quatrième ressemble à une grosse croix lumineuse et d'autres encore à des lignes brisées comme des éclairs. Certains ont été photographiés posés sur le sol et d'autres en plein vol. » L'homme assis dans la grotte prétendait avoir pris ces photographies en Grèce, en Jordanie et en Inde.
Good continuait à lire. Mises à part les photographies, Albert disait avoir souvent reçu des visites d'entités venant d'un autre lieu de la galaxie et d'avoir lui même voyagé au moins une fois pour aller sur une planète habitée. Sur cette planète insolite, « tous les objets étaient blancs dit-il au journaliste, et les êtres qui y vivaient ressemblaient beaucoup à des humains sauf qu'ils étaient plus grands, avec une lueur tout autour d'eux et qu'ils étaient spirituellement plus avancés. Ils s'exprimaient par transmission de pensée. »
Le journaliste rajoutait que le bagage de cet homme était peu encombrant : quelques vêtements, son album photographique, un appareil-photo à soufflet et deux petits sacs. Il voyageait avec un petit singe qu'il appelait Empereur. En conclusion de l'article, on lisait que Albert et Empereur allaient se remettre en route en compagnie d'un autre voyageur allemand qui avait prêté un peu d'argent à Albert, en direction du Moyen-Orient et peut-être jusqu'en Suisse.
Avant de se séparer, il avait dit au journaliste : « J'ai une mission à remplir ; je dirai de quoi il s'agit lorsque le temps sera venu pour cela, à coup sûr dans moins d'un an ». Il ne voulut pas en dire davantage.
L'article se terminait par ces mots : « L'histoire de Monsieur Albert est saisissante. Il se propose de rendre compte de ses expériences à des scientifiques Allemands, de leur montrer ses photographies ainsi que des objets qu'il dit avoir ramenés de ses voyages sur d'autres planètes. Monsieur Albert a-t-il inventé toute cette histoire ou est-il un mystique à l'imagination débridée ? Seul le temps pourra nous le dire ».
Plusieurs années après la parution de cet article dans le « Statesman », le journaliste, Mr Venkatesh répondit à une lettre demandant des précisions sur le mystérieux Monsieur Albert. Il écrivit pour réponse : « Je me souviens très bien avoir rencontré cet homme et il semblait, d'après mes souvenirs, extrêmement sérieux à propos de ce qu'il disait. Je serais très curieux moi-même de savoir ce qui est advenu de tout cela, si il a rencontré d'autres êtres de l'espace et si il a finalement dévoilé sa mission, comme il avait promis de le faire».
Transcription de la conférence
Phobol ChengLà ça se passe plus tard - juste un an après que Billy Meier soit passé par la mission.
Et voici mon grand-père alors sur la fin de sa huitième décennie, et moi même, un an et demi avant de quitter mon pays pour les États-Unis,pour suivre mes études universitaires.
L'arrière-plan montre un peu à quoi ressemblait l'ashram partout ailleurs.
Après ce contact, j'avais alors 14 ans, il n'y en eut plus d'autre.
La dame ne me rendait plus visite.
Et je continuai à vivre, vous savez,la vie normale d'une adolescente qui grandit.
Je terminai mes études secondaires puis j'ai été envoyée aux États-Unis pour suivre un premier cycle universitaire à New York.
Alors que je poursuivais mes études universitaires, j'avais tout oublié de ce contact.
Ce n'est pas tant que … ce n'est pas…
Ce n'était jamais resté dans un recoin de ma tête où j'aurais pu l'utiliser.
Je vivais la vie d'une personne nouvellement arrivée aux États-Unis, étudiante pour la première fois. J'avais une nouvelle vie devant moi.
je n'aurais pas pu m'éterniser sur ce qui s'est passé dans mon enfance.
Et c'est ainsi que j'ai continué mes études, et même lorsque, à l'époque, je terminais mon premier cycle et commençais le second, des personnes venaient à moi et me parlaient d'ovnis et tout ça, je répondais: « Ha, je ne crois pas en ces choses-là - je n'en ai jamais vus etc. »
Alors, finalement, il y a presque 5 ans, 5 ou 6 ans, je crois que c'était 5 ans Wendelle, peut-être ?
Quelqu'un m'a passé le livre de Gary Kinder dont le titre est «Light Years». Alors je l'ai regardé et j'ai vu les images d'ovnis, et je pensais : "C'est pas mon truc". Je l'ai laissé sur une étagère et n'y suis plus revenue.
Et puis, après avoir obtenu mon diplôme de fin d'études, je suis allée aider mon pays, suis devenue diplomate, ai été renvoyée à New York pour représenter mon pays aux Nations Unies, ai travaillé à cela pendant 12 ans, et un jour, alors que je faisais le ménage, je suis soudainement tombée de nouveau sur le livre.
Alors je pensais qu'avant de le jeter, je devais y jeter un œil. J'ai ouvert à une page et j'ai lu le nom d'Asoka Ashram.
Alors je me suis demandé comment se pouvait-il que notre place soit nommée dans ce livre ?
Alors que je le feuilletais, je vis les histoires. Et immédiatement, j'ai pensé :
Je vous parie que c'est la même personne venant de Suisse qui a séjourné chez nous quand j'étais enfant !
Alors je pensais : "Mais comment savoir si c'est bien la personne?"
J'ai appelé l'éditeur du livre, mais personne ne pouvait (répondre).
Finalement, une personne aimable m'a dit:
"Vous devriez contacter cette personne qui a publié un autre livre " Message des Pléiades ", son nom est Wendelle [Stevens].
Alors je l'ai contacté … par miracle, je ne sais comment, j'ai trouvé son numéro - j'ai contacté Wendelle et lui ai dit :
«Pensez-vous que c'est la même personne qui est venue séjourner chez mon grand-père il y a tant d'années, est-ce cette personne ? Est-ce cette personne? Et ainsi de suite, "Et je voudrais entrer en contact avec lui s'il est encore en vie."
Et Wendelle a répondu que oui, il était encore vivant, mais qu'il ne rencontrait personne, qu'il vivait très isolé : « Tant de personnes sont déjà venues me voir en disant:" Je le connaissais auparavant ", je ne pense pas qu'il voudrait vous rencontrer, Parce que… etc ».
Alors j'ai dit:" Eh bien, si c'est la bonne personne, pouvez-vous me dire…
"à Ashoka, il avait un singe, si ce singe avait tel surnom. S'il est la personne que j'ai connue, et s'il avait un singe, c'est la même personne."
Alors, Wendelle lui a écrit, et je pense que Wendelle a dit : dans l'heure, Billy a répondu et a déclaré :
"Il y avait ces deux enfants et …"
Et c'est comme ça que quelques mois plus tard, je suis partie pour rencontrer Billy au Centre (Semjase Silver Star à Hinterschmidrüti).
Je n'avais que peu de … - je ne suis restée là-bas qu'environ 5 jours, mais nous nous sommes assis et avons discuté pendant trois nuits d'affilée sans dormir.
C'était presque comme si je sentais que j'étais revenue chez moi et lui sentait qu'il était revenu chez lui !
C'était juste un partage d'une partie de lui-même qu'il n'avait pas été vraiment en mesure de partager avec d'autres personnes auparavant.
Et c'est ainsi que je me suis reconnectée à Billy.
Et maintenant que j'ai beaucoup parlé, je voudrais vous montrer quelques-unes des images que j'ai ramenées.
Diapositives, s'il vous plaît ?
Celle-là on en parlera plus tard. C'est juste une histoire…
Ok alors je vais peut-être commencer par cette photo.
Si cela prend trop de temps, je vais partir sur celle-là.
C'est le décor de l'Ashram. Les murs de pierre arrivent ici, et ce sont tous des arbres de …
Ainsi, ce vaisseau apparaissait à l'époque - habituellement en même temps que j'avais une visite, ou parfois pas - mais Je voyais le vaisseau.
Cette photo a été prise par Billy Meier, et il me l'a montrée la première fois que nous nous sommes revus.
Je n'en voyais pas tous les jours mais presque une fois par semaine, parfois deux… Ce n'était pas régulier.
Pourrais-je avoir la suivante, s'il vous plaît ?
C'est la "colline sombre" (dark hill) je pense, Voici un vaisseau au-dessus de l'Ashram d'Ashoka mais vu d'un angle : derrière l'Ashram Ashram, il y a une petite colline.
Et à côté de cette colline, nous avons une zone où nous avons construit un abri pour animaux, une partie du refuge pour animaux errants etc. pour les nourrir, les soigner.
Et on l'appelait la "colline sombre".
C'est ainsi qu'on l'appelait, et cette photo a été prise depuis la "colline sombre".
Et Billy passait beaucoup de temps à travailler au refuge pour animaux, aidant à guérir les animaux et aussi à nourrir les animaux errants, surtout des chiens, des singes, des vaches parfois et des chevaux.
Cette photo a été prise le 24 mai 1964 à 13h53 [le moment précis est fourni par les notes prises par Billy à l'époque].
Suivante…
Oui. Cela a été pris d'assez loin, très haut, juste sur le côté est de l'ashram.
Ces deux diapos montrent des boules de feu, que je voyais parfois par plus de deux – parfois toute une série…
Suivante s'il-vous-plaît.
La même mais prise d'un monument pas loin qui s'appelle le Katuminar, c'est un ancien monument historique indien, qui est tout près de cette zone.
C'est Billy Meier qui a pris ces photos, et voici une photo très rare.
Il n'a pas beaucoup montré ces photos parce que c'est une partie de ces contacts qu'il a eus avec Asket.
Et donc, quand je suis allée le voir, il m'a montré toutes ces photos parce que nous nous remémorions de tous ces endroits, de la place, à partir de quel angle cela a été pris et tout ça.
Parce que à moins d'y avoir été, vous ne sauriez pas où cela se situe et à quoi cela fait référence par rapport à l'Ashoka Ashram.
La suivante, s'il vous plaît.
OK, c'est très intéressant, et aussi, important pour moi : Voilà un tas d'entre eux [des tâches blanches dans le ciel]
Juste au-dessus de l'Asoka. C'est l'arrière cour du lieu.
Vous ne pouvez pas le voir très clairement dans ces reproductions ici. Mais c'est l'une de mes ayahs qui lave mes vêtements, assise dans la véranda à l'extérieur de ma chambre.
Elle est assise ici, et lave mon uniforme scolaire.
Parce que sur les photos originales, c'est bien plus clair.
Alors nous avons partagé ces histoires parce qu'il avait beaucoup discuté avec elle, cette femme qui en train de laver.
Pour moi, c'est très important, parce que quand j'ai vécu mes expériences, ce n'était pas quelque chose de … - pour moi, c'était très naturel.
J'ai vu beaucoup de vaisseaux au dessus du temple ou sur… nous avons un grand domaine : sur les arbres, près du puits, sur le chenil, tous ces endroits au dessus desquels j'ai vu les vaisseaux.
Parfois c'était très proche du sol.
Je pouvais voir un énorme, presque comme… Une fois, j'ai vu un vaisseau dont la taille était peut-être la moitié de cette salle. Et parfois, j'en voyais un très petit, plus loin.
Cela n'avait rien d'étrange; Ce n'était pas quelque chose qui me poussait à courir avec excitation vers un adulte, mon grand-père ou mon ayah ou ma gouvernante pour demander ce que je voyais.
C'était un phénomène très naturel pour moi.
Donc, lorsque je vivais des expériences avec Asket, ce n'était pas également une expérience vraiment inhabituelle pour moi. C'était presque… ce qu'il y avait de plus naturel - c'était presque comme retourner dans un état familier connu.
Pourrions-nous avoir la suivante, s'il vous plaît ?
Je pense que c'est celle-là.
Je pense qu'une des boules descend, et c'est ce qui produit ce phénomène OVNI.
La suivante…
Oui, en voilà une étonnante…
Ce phénomène, lorsqu'il apparaît comme ça, est habituellement suivi d'une apparition - un autre disque… et la forme provient de la forme du vaisseau qui traverse les nuages de part en part au-dessus des gens.
Parfois, il y avait quelques villageois qui se promenaient, et ils regardaient en l'air et voyaient cela.
Dans l'ashram même, parfois, notre serviteur venait me dire :
"J'ai vu quelque chose de très étrange. L'avez-vous vue ?" Je répondais "Oui". C'était tout. Il n'y avait plus rien d'autre à dire.
La suivante, s'il vous plaît ?
C'est juste au-dessus de l'Ashram, le soir.
Je m'en rappelle très bien, car… il y avait parfois des gens qui levaient les yeux comme moi, et certains d'entre eux voyaient le vaisseau très clairement, comme moi, mais certains regardaient autour d'eux, et disaient: «Je ne le vois pas. Je ne vois pas où c'est. "
Et ce n'était pas juste une petite tache ; c'était une grande forme. Mais certains n'étaient pas capables de la voir. Je ne savais pas, vous savez, en Inde, les villageois auraient pu avoir une mauvaise vue. Je ne sais pas, c'est ce que je me disais. Mais maintenant, je pense que ce pourrait être une autre raison.
Suivante.
La même.
Suivante s'il-vous-plaît.
Je pense que c'est l'une des apparitions qui a été vue par des centaines de personnes.
Celle-là, je crois, a été observée par tout un… - je pense peut-être une centaine de personnes, elle fut même relatée… dans un journal indien dans les années soixante.
En fait, un journaliste a été dépêché du journal - le New Statesman ou quelque chose comme ça ;
Si vous pouvez trouver l'article… [le New Statesman de Delhi du 30 septembre 1964]
Il est venu, a parlé aux villageois, au gens qui travaillaient chez nous, et même parlé à Billy, qui lui a montré les photos.
Et il a écrit un article à ce sujet. Et il a interviewé beaucoup d'autres personnes.
Suivante, s'il vous plaît ?
Hé bien, voici Billy et sa famille.
C'est Billy [à gauche], et bien sûr, le garçon à la chemise rouge est Methusalem, et la sœur et le bébé Atlantis.
Je crois… et non ? Qui est-ce ?
(Methusalem arrive sur le podium et dit à Phobol : "C'est mon père, c'est ma mère, c'est mon frère Atlantis, ma sœur [en rouge] Gilgamesha, et le bébé, c'est moi."
Oh, je vois. Merci. J'aimerais revenir sur cette photo et raconter une petite histoire avant de conclure parce que je crois que vous avez pu vous faire une idée.
L'image du temple.
C'est à l'intérieur du temple.
Cette image montre mon grand-père assis devant l'autel du temple avec un certain nombre de visiteurs venus d'Inde.
Je veux vous montrer cet endroit, car un soir où j'avais terminé mes cours avec mon tuteur, je suis entrée et j'ai vu mon grand-père assis là-bas avec deux personnes.
Et pour une raison inconnue, je ne sais pourquoi, j'ai immédiatement su que ces gens n'étaient pas d'ici - ce n'était pas des êtres de la Terre.
Mais ils ne semblaient pas différents de nous. C'était deux hommes, tous deux vêtus d'une sorte de robe blanche, avec une sorte de teint sombre, très très beaux mais très minces, parlant avec mon grand-père.
Et je me suis approchée en silence et me suis assise pas loin et j'ai écouté leur conversation.
Je n'ai pas entendu grand-chose, mais j'ai compris ou du moins, ce que j'ai retenu de cette conversation entre mon grand-père et ces deux êtres, c'est qu'ils étaient très reconnaissants à mon grand-père d'avoir enseigné les enseignements spirituels du Bouddha et aussi l'enseignement de la méditation.
C'est ce que j'ai compris, qu'ils étaient très reconnaissants que nous enseignions la méditation, et que beaucoup de chercheurs venaient à lui étudier sous certaines formes de méditation qu'il enseignait à l'époque.
Et c'est comme ça que, alors que j'étais assise là et écoutais, tout à coup je me suis tournée, et ils n'étaient plus là.
Ils étaient là à la minute, et ils n'étaient plus là la minute suivante. Alors, je suis allée vers mon grand-père et lui ai demandé : "où sont-ils ?"
Et il a répondu : "Oui, c'est comme ça qu'ils viennent, et c'est ainsi qu'ils partent".
Et j'étais tout à fait satisfaite par cette réponse.
Je n'avais aucune raison d'avoir de doutes, ou de ne pas comprendre ce qu'il voulait dire.
Et c'était cet endroit même où nous l'avons vu assis avec les visiteurs.
J'ai assemblé tout cela pour le partager avec vous, alors qu'en quelque sorte c'est atroce pour moi ; c'est un peu difficile.
Vous pourriez penser qu'il n'est pas si difficile de partager cela, mais c'est difficile pour moi, car c'est très, très personnel, encore une fois, et c'est très, c'est très profond.
Ainsi, il y a quatre ans, près de cinq ans maintenant, je me suis de nouveau reconnectée à Billy.
Après cette lettre, je suis allée le voir, et je vous ai confié que nous avons passé trois nuits à parler sans dormir, partageant tant de choses.
Et tout au long de ces conversations, d'autres souvenirs apparurent, que j'ai partagés avec Billy et qu'il a confirmés.
Et il m'a dit qu'il avait toujours pensé aux deux petits enfants [Phobol et son petit frère] et à ce qui leur est arrivé.
Il m'a également confié qu'on l'avait toujours informé que nous nous retrouverions un jour dans le futur.
Et ….
Et… j'ai toujours la sensation d'être proche de lui depuis que nous nous sommes revus.
L'année dernière, en novembre, je suis revenue et j'ai passé deux semaines avec mon mari - pour lui présenter mon mari et nous avons continué à…
C'est presque comme une famille pour moi, mais ce sentiment d'intimité, je ne peux pas le décrire si c'est de l'amitié, de la famille ou quoi, si c'est quelque chose de plus ou peut-être quelque chose de moins, mais il y a ce sentiment d'être proche dans ceci, du fait d'être tous là (reliés) dans notre existence.
Merci.
Avant de … Merci beaucoup, j'ai oublié, j'ai encore quelque chose à partager avec vous : J'ai une amie en Inde; Elle [Sashi Raj] était avec moi lorsque j'ai grandi en Inde.
Je l'ai retrouvée quand elle est venue visiter les États-Unis, alors je l'ai amenée pour qu'elle témoigne brièvement avec vous.
Je crois que Michael va ….
Sachi Raj
Eh bien, je pense qu'il est temps de terminer mais avant, Je voudrais partager certaines choses avec vous, mais en référence aux expériences que mon amie a déjà partagées.
Je l'ai rencontrée lorsque son grand-père m'a engagée comme tutrice d'Hindi (langue indienne) pour elle et son frère.
Et nous sommes tout de suite devenues amies.
Cela fait bien longtemps, vous voyez, parce que nous avons perdu contact entretemps et c'est tout simplement comme se reconnecter à nouveau.
Lorsque j'enseignais, elle était une très bonne étudiante, mais lorsque le cours était terminé, nous restions juste assises et discutions ou nous sortions marcher dans le jardin et parler.
Et parfois, elle me racontait des histoires de fille et elle disait :
«Oh, tu sais, hier soir, une femme est venue dans ma chambre. Elle a chanté pour moi et m'a mise à dormir. »
D'accord… (air sceptique)
Ou parfois, elle disait: «Tu sais, j'ai vu un engin spatial.»
Bien … Ou elle disait : «Oh, tu sais Sashi, il y a une femme qui parle à cet homme là-bas et elle lui ressemble. »
Hé bien, j'ai appris plus tard que que cette femme était Asket et que l'homme en question était Billy Meier.
Et je n'avais pas beaucoup l'occasion de voir de vaisseaux spatiaux pendant qu'elle était là.
Plus tard, quand elle fut partie pour les US pour des études supérieures, j'ai vu des engins spatiaux planer sur le temple, très semblables, des disques ronds, avec un moyeu, émettant de la lumière, un faisceau fort.
Il semblait qu'ils allaient atterrir mais ils ne se posaient jamais, juste restant en survol pendant un temps.
Et puis, ils se mettaient à virer et juste, partaient, vous savez, ils disparaissaient tout simplement.
Mais vous voyez, je doutais encore, de ce dont elle m'avait parlé.
Jusqu'à ce qu'un jour, pendant que je me promenais avec elle, J'ai vu tout un groupe de personnes
De la colline sombre qu'elle a mentionnée auparavant, j'ai vu toute une communauté de gens tournées vers un champ, occupés à faire leur travail : ils ne se sont pas retournés pour nous regarder.
Mais je me suis crue devenir folle parce que je pensais peut-être, vous savez, avoir une vision ou autre, ou que quelque chose n'allait pas en moi.
Je pensais que j'allais tomber, et à cet instant précis quand j'ai regardé de nouveau, j'ai vu le site et les champs, ils étaient de forme géométrique, mais les cultures, n'étaient pas en cercle comme celles que nous avons vus, mais géométriques comme une étoile ou un triangle.
Et les gens qui se tournaient vers les champs avaient taille une assez grande, plus grands que moi, bien sûr, Ils portaient comme de longues robes blanches.
Et ils se penchent. Les enfants étaient là aussi.
Et ce flash, jamais … Je le garderai toujours dans mon esprit mais je n'avais personne qui pourrait m'expliquer ce que j'ai vu.
Mais à partir de ce jour … auparavant je rejetais tout ce qu'elle disait en le mettant sur le compte de son imagination. Mais à partir de ce jour-là, j'ai considéré cela plus sérieusement.
Je l'ai mieux comprise et je suis devenue une meilleure personne.
Concernant Billy Meier, j'ai une anecdote amusante …
Elle m'avait dit comme à vous tout à l'heure qu'il avait deux singes de compagnie qu'il appelait l'empereur Hanuman et l'impératrice Hanuman.
Hanuman, comme vous le savez, est le dieu singe indien vénéré pour son pouvoir, pour sa force et sa protection.
Alors je lui ai dit : "Phobol, vois quelle belle paire et quelle bonne compagnie ils font : regarde, un Dieu animal et un chat humain " Parce que Billy en Hindi signifie chat.
Je disais donc regarde quelle belle compagnie ils forment, ce chat humain et ce dieu animal ?
Et nous rions et j'ai gardé pour toujours cette anecdote en mémoire.
Et pendant la période de temps où nous avions perdu contact lorsqu'elle était étudiante ou diplomate, j'étais en Inde.
Aujourd'hui, elle s'est reconnectée à Billy Meier, et moi je suis à nouveau avec elle.
C'est un tremplin pour moi pour connaître des domaines inconnus et en apprendre davantage sur notre planète.
Merci beaucoup.
Michael Hesemann
Merci beaucoup, Rashi … Sashi!
Et vous voyez : c'est ce qui est la chose vraiment impressionnante à propos des contacts de Billy Meier :
Ce n'est pas juste un homme qui sort sur sa moto dans les forêts suisses et prend des photos.
Ce sont des dizaines de personnes qui vivent des expériences qui les transforment.
Et c'est ce que la nouvelle enquête rouverte l'année dernière et dont vous voyez les premiers résultats ici, prouve et prouvera dans le futur. Les contacts de Billy Meier représentent beaucoup, beaucoup plus.
Et peut-être qu'ils peuvent aussi changer votre vie et peut-être qu'ils peuvent aussi changer le monde.
Parce que, assurément, nous ne sommes pas seuls.
Merci, merci, merci beaucoup.