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Contact 275 - Mère Thérésa

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Mère Thérésa



Billy Meier n'est pas tendre avec Mère Thérésa, elle qui a reçu un prix Nobel de la paix et fut canonisée le 4 septembre 2016 par le pape François.
Peu de gens en France, pays latin où la religion catholique est très forte et les médias peu enclins à parler de telles choses, savent qu'elle est est très critiquée pour de nombreuses raisons.
Le reporter d'investigation a récemment découvert qu'elle était reçue par le bras droit de Marcinkus.  Son compte en banque, qui existe toujours, était si bien garni que le retirer pourrait mettre la banque du Vatican en danger.

Voici un extrait du contact 275, daté du 10 août 1999.

source



BillyBilly
... Peut-être sais-tu que la soi-disant "Mère Thérésa" doit être prochainement canonisée dans une procédure accélérée. ... Vielleicht ist dir bekannt, dass die sogenannte <Mutter Teresa> nächstens in einem Schnellverfahren heiliggesprochen werden soll.
Mais toi-même tu m’as que cette femme est une criminelle qui, sous couvert de la foi et de la religion, commet - respectivement, a commis - des crimes graves, parce qu'elle est décédée entre-temps.Du selbst sagtest mir aber bezüglich dieser Frau, dass sie eine Kriminelle sei, die unter dem Deckmantel des Glaubens und der Religion schwere Verbrechen begehe resp. begangen habe, denn in der Zwischenzeit ist sie ja gestorben.
Comme je le sais de toi et de différentes sources terrestres, c'était une voleuse d'enfants qui a enlevé à de nombreuses mères indiennes leurs enfants et les a vendus à des étrangers sans enfants au prix fort.Wie ich von dir und aus verschiedenen irdischen Quellen weiss, war sie eine Kindesräuberin, die vielen indischen Müttern ihre Kinder stahl und für teures Geld an kinderlose Ausländer verkaufte.
Elle a dit aux mères, à qui elle avait volé les enfants - en collaboration avec d'autres sœurs de son ordre - que les enfants qui lui avaient été confiés étaient morts, et ainsi de suite.Den Müttern, denen sie die Kinder stahl- in Zusammenarbeit mit anderen Schwestern ihres Ordens -, erzählte sie, dass die ihr anvertrauten Kinder gestorben seien usw.
De plus, elle a aussi amassé des millions de dollars grâce aux dons qui lui ont été confiés pour alléger les la détresse des souffrants et construire des hôpitaux, des maisons médicalisées, etc.Im weiteren scheffelte sie auch millionenweise Dollars mit Spenden, die ihr anvertraut wurden, um damit die Not der Leidenden zu lindern und um damit Krankenhäuser und Pflegeheime usw. zu bauen.
Mais tous les nombreux dollars que tu m’as mentionnés, il n' y a pas si longtemps, 3,5 milliards de dollars, qu'elle a quémandés et escroqués pour une grande partie auprès des chefs d'État et des gros patrons de l’industrie, etc., n'ont jamais été utilisés pour les causes indiquées par Mère Thérésa.All die vielen Dollars aber, die du mir vor noch nicht langer Zeit mit 3,5 Milliarden angegeben hast und die sie zu grossen Teilen von Staatsoberhäuptern und Wirtschaftsbossen usw. erbettelte und ergaunerte, wurden nie für die Zwecke verwendet, die Mutter Teresa angegeben hat.
Seuls quelques dollars ont effectivement été déboursés pour les objectifs indiquée, tandis que la majeure partie restante, plus de 1,7 milliard - si je me souviens bien de tes indications - a été emporté à Rome par l’escroqueuse pour remplir les coffres du pape.Nur wenige Dollars flossen tatsächlich für die genannten Zwecke aus, während der grosse Rest, nämlich mehr als 1,7 Milliarden - wenn ich mich richtig deiner Angaben entsinne von der Betrügerin nach Rom getragen wurde, um die päpstliche Kasse zu füllen.
Est-il possible de laisser cette affirmation et la rendre publique, ou vaut-il mieux que je me taise? Kann man das so im Raum stehen lassen und dies auch öffentlich publik machen, oder soll ich besser schweigen darüber?
PtaahPtaah
37. Ce dont je t’ai rendu compte à propos de cette petite femme malhonnête correspond aux événements et aux faits, par conséquent les explications peuvent aussi être données ouvertement. 37. Was ich dir im Zusammenhang mit dieser betrügerischen kleinen Frau berichtete, entspricht den Begebenheiten und Tatsachen, folglich die Erklärungen auch offen genannt werden dürfen.


Liens

On pourra se référer à la conférence des François Asselineau pour apprécier la "valeur" et la signification du prix Nobel de la paix.



Gianluigi Nuzzi’s newly-released book, ‘The Original Sin,’ digs into the Vatican’s darkest secrets and details how, when American archbishop Paul Marcinkus was appointed president of the Vatican Bank, Mother Teresa was believed to have “by far the most cashed up account.”
"If only Mother Teresa had closed the accounts or transferred them, the institute would have risked default," Nuzzi writes, La Presse reports.
The Italian author went on to say how the discovery of Mother Teresa’s bank account is proof of Marcinkus’ long-standing meddling in Vatican affairs.
"There is a power block in the Vatican that obstructs Pope Francis' reforming action just as it did with Benedict XVI – it existed with Marcinkus and his parallel management of the IOR – and it still exists today," Nuzzi said.
"Her [Mother Teresa] account in the Vatican bank is proof that these gentlemen were and still are within the Curia and they trust them. They were also trusted by Mother Teresa, who, as is told, entered the Ior by a secondary door and was welcomed by Monsignor De Bonis, Marcinkus's right arm."
source
https://www.rt.com/news/409393-mother-teresa-bank-account/



Dans un article qui paraîtra dans l'édition de mars de la revue scientifique Studies in Religion/Sciences religieuses, Serge Larivée et Geneviève Chénard, des chercheurs de l'Université de Montréal, et Carole Sénéchal de l'Université d'Ottawa, questionnent également l'utilisation des dons importants reçus par les oeuvres de mère Teresa.

« Alors que nous cherchions de la documentation sur le phénomène de l'altruisme dans le cadre d'un séminaire sur l'éthique, l'un de nous est tombé sur l'oeuvre et la vie d'une des femmes les plus encensées par l'Église catholique et faisant aujourd'hui partie de notre imaginaire collectif : mère Teresa. La description qui en était faite était si dithyrambique que cela a piqué notre curiosité et nous a donné envie de pousser notre recherche plus loin, » explique M. Larivée, cité dans un communiqué publié sur le site internet de l'Université de Montréal.

Les chercheurs ont donc analysé 287 ouvrages sur la vie et l'oeuvre de mère Teresa, fondatrice de l'ordre des Missionnaires de la charité. Résultat? Selon M. Larivée et ses collègues, le Vatican n'a pas tenu compte de plusieurs problèmes dans son processus de béatification de mère Teresa, dont « sa manière pour le moins discutable de soigner les malades; ses contacts politiques douteux; sa curieuse gestion des faramineuses sommes qu'elle a reçues et un dogmatisme excessif notamment à l'égard de l'avortement, de la contraception et du divorce. »

Générosité sélective?

Des sommes importantes -- dont des fonds reçus du régime dictatorial des Duvalier en Haïti -- se retrouvent entre les mains des Missionnaires de la charité, mais celles-ci transitent dans des comptes pour la plupart secrets. Et malgré les millions que détient sa fondation, mère Teresa est beaucoup plus généreuse en prières qu'en argent lors de tragédies en Inde comme des inondations ou le désastre de Bhopal, soutient M. Larivée.

Aussi, dans les missions de la religieuse, deux-tiers de la clientèle espère en vain y recevoir des soins médicaux, tandis que les autres y viennent pour mourir mais ne reçoivent pas de soins adéquats, notent les chercheurs, citant des médecins qui ont visité ces missions et y ont notamment déploré le manque d'hygiène, le régime alimentaire insuffisant et l'absence de médicaments anti-douleurs. M. Larivée et ses collègues soulignent que c'est la conception de la souffrance de mère Teresa, et non le manque de fonds, qui est à l'origine de ces lacunes.
Les universitaires attribuent la popularité de mère Teresa et de ses oeuvres à un film réalisé en 1969 par un journaliste de la BBC. Elle découvre l'efficacité des médias, voyage à l'étranger et reçoit de nombreux prix, dont le Nobel de la paix.

Mère Teresa est donc devenue une sainte aux yeux de la population, et sa béatification, puis sa canonisation, ont été utilisées par le Vatican « pour revitaliser l'Église et inspirer les fidèles surtout à l'heure où les églises se vident et l'autorité romaine décline », soutiennent les chercheurs.

M. Larivée souligne toutefois le fait que l’œuvre de mère Teresa a inspiré « plusieurs travailleurs humanitaires », qui eux n'auraient pas été encensés par les médias. Il soutient toutefois que les médias qui ont couvert la religieuse auraient dû faire preuve de plus de rigueur.
source

Mère Teresa était une fanatique, une fondamentaliste et une imposture
Christopher Hitchens,
Elle représente l'asservissement de l’Église au show-biz, à la superstition et au populisme.
….
Parmi les fléaux de l'Inde, à l'instar d'autres pays pauvres, il y a le chaman charlatan, qui dépouille le souffrant par ses promesses de guérison miraculeuse. Le 19 octobre 2003 aura été un jour merveilleux pour ces parasites, qui auront vu leurs minables méthodes adoubées par sa sainteté et la presse internationale leur dérouler plus ou moins le tapis rouge. Oubliées les règles élémentaires de la logique, à savoir qu'à allégations extraordinaires, il faut des preuves extraordinaires et que ce qui s'affirme sans preuves peut aussi être infirmé sans preuves. Qui plus est, nous avons assisté à l'élévation et à la consécration du dogmatisme extrême, de la foi étriquée et d'un culte d'une personnalité humaine des plus médiocres. Beaucoup plus de gens sont pauvres et malades à cause de la vie de MT, et encore davantage seront pauvres et malades si son exemple est suivi. Elle était une fanatique, une fondamentaliste et une imposture, et une Église qui protège officiellement ceux qui violent l'innocent nous montre, une nouvelle fois, quelle est sa position réelle en matière morale et éthique.
source
http://www.slate.fr/story/111769/mere-teresa-fanatique-fondamentaliste-imposture


Lors d’une enquête sur les conditions de soin et d’hygiène dispensés dans les centres des missionnaires de la Charité, Aroup Chatterjee – auteur de Mother Teresa : The Untold Story (ed. Fingerprint, non traduit) – découvre que les seringues y sont plusieurs fois utilisées, que des médicaments périmés y sont administrés, que des enfants y sont attachés à leur lit et que l’aspirine n’est que rarement utilisée. Des pratiques amenées à changer. « Mère Teresa a glorifié la souffrance, car elle pensait que cela rapprochait de Jésus-Christ », déplore-t-il.

Ses positions contre l’avortement, « le plus grand destructeur de la paix », selon Mère Teresa, ou la contraception ont également suscité de nombreuses critiques. « Le mythe de Mère Teresa a éclipsé de nombreux réformateurs sociaux indiens qui luttaient pour changer les mentalités. Elle n’a rien fait pour lutter contre le système des castes et transformer la société, elle n’était qu’une obscurantiste et une démagogue », enrage Aroup Chatterjee.

Au bout d'un mois de volontariat, j'ai déchanté sur Mère Teresa et sa congrégation.
Pour Mère Teresa, la souffrance rapproche de Dieu, surtout si tu es pauvre. À l'hospice où je me suis auto-affectée, celui de Prem Dan et non le célèbre Kalighat pris d'assaut par les volontaires, les malades reçoivent peu ou pas de soins : le médecin passe une fois par semaine pour toutes les patientes, dont les cancéreuses, qui sont soignées à l'aspirine et aux vitamines.
Je ne sais pas si vous avez déjà essayé de soigner votre cancer aux seuls anti-douleurs, mais ça n'est pas super efficace. D'où cette conversation brève et un peu surréaliste entre moi et une bonne sœur, après quelques jours :
"- Il y a un médecin qui vient quand même ?
- Oui, une fois par semaine
-  regard de merlan frit de ma part :  …."
Hygiène mauvaise, peu de soins administrés
L'hygiène est loin d'être optimale, même si les employées indiennes lavent à grande eau une fois par jour. Mais avec la chaleur étouffante, l'humidité et la poussière, c'était loin d'être suffisant.
Certaines malades restaient en permanence allongées sur leur lit et développaient escarres sur escarres, parfois bien plus graves que leur pathologie originelle. Les sœurs n'avaient quasiment aucune compétences médicales, tout comme les employés indiens (souvent des habitants du bidonville environnant qui travaillent pour les sœurs, et se cognent bien souvent tout le sale boulot).
En fait, les maigres soins étaient principalement assurés par les volontaires ayant des formations médicales.
Les volontaires étaient préposés aux tâches ménagères
Au-delà de cela, je remarquais que de nombreuses pensionnaires âgées n'étaient pas malades physiquement, mais avaient l'air de souffrir de démence. On m'a expliqué que leur famille les mettaient là comme dans une maison de retraite. Déjà que les sœurs étaient infoutues de soigner un rhume, alors des problèmes psy, vous n'y pensez pas.
Surtout, difficile de communiquer vraiment avec les femmes de l'hospice pour une bête histoire de langues. Mine de rien, ça limite pas mal "l'expérience humanitaire enrichissante" que l'on vous vend.
Dans les hospices, les volontaires occidentaux en mal de sensations faisaient la lessive, épaulés par quelques pensionnaires valides, distribuaient les repas, puis étaient préposés à la vaisselle. Bref, les sœurs étaient bien contentes d'avoir tout ce beau monde pour les tâches ménagères.
Et dans les orphelinats, les enfants ne reçoivent quasiment aucune instruction ni éducation.
Chez Mère Teresa, on glorifie la souffrance, on ne la soigne pas
Alors vous me direz que peut-être les sœurs font du mieux qu'elles peuvent avec les moyens du bord. Sauf qu'elles reçoivent des sommes colossales de dons en espèces sonnantes et trébuchantes, et que Mère Teresa avait elle-même reçu des millions de dollars selon cette étude relayée ici, qui malheureusement n'a pas enquêté pour savoir où étaient caché le magot, dont certains fonds viennent de gens peu recommandables.
Entre dollars dissimulés et mauvaise gestion à Calcutta, il y a de quoi perdre la foi. Et il est là le nœud du problème, qui saute aux yeux même après quelques jours de volontariat : les dons ne sont pas réinjectés dans le système.
Et oui chez Mère Teresa, on glorifie la souffrance, on ne la soigne pas.

J'ai principalement appris que les religieuses à Calcutta étaient assises sur un tas d'or qu'elles ne redistribuaient pas via leurs actions, tout ça en prêchant la bonne parole et en faisant mine de soulager les plus pauvres. Où est cet argent ? Mystère.
source
http://leplus.nouvelobs.com/contribution/1464056-j-ai-ete-volontaire-aupres-de-la-congregation-de-mere-theresa-c-est-une-arnaque-sans-nom.html

As a result, the three researchers collected 502 documents on the life and work of Mother Teresa. After eliminating 195 duplicates, they consulted 287 documents to conduct their analysis, representing 96% of the literature on the founder of the Order of the Missionaries of Charity (OMC).

Facts debunk the myth of Mother Teresa
In their article, Serge Larivée and his colleagues also cite a number of problems not take into account by the Vatican in Mother Teresa's beatification process, such as "her rather dubious way of caring for the sick, her questionable political contacts, her suspicious management of the enormous sums of money she received, and her overly dogmatic views regarding, in particular, abortion, contraception, and divorce." 
source
http://nouvelles.umontreal.ca/en/article/2013/03/01/mother-teresa-anything-but-a-saint/

https://www.atheisten-info.at/downloads/teresa.pdf

Pannalal Manik also has doubts. “I don’t understand why you educated people in the West have made this woman into such a goddess!” Manik was born some 56 years ago in the Rambagan slum, which at about 300 years of age, is Calcutta’s oldest. What Manik has achieved, can well be called a “miracle”. He has built 16 apartment buildings in the midst of the slum — living space for 4000 people. Money for the building materials — equivalent to DM 10000 per apartment building — was begged for by Manik from the Ramakrishna Mission [a Indian/Hindu charity], the largest assistance-organisation in India. The slum-dwellers built the buildings themselves. It has become a model for the whole of India. But what about Mother Teresa? “I went to her place 3 times,” said Manik. “She did not even listen to what I had to say. Everyone on earth knows that the sisters have a lot of money. But no one knows what they do with it!”


Compared to other charitable organisations in Calcutta, the nuns with the 3 blue stripes are ahead in two respects: they are world famous, and, they have the most money. But how much exactly, has always been a closely guarded secret of the organisation. Indian law requires charitable organisations to publish their accounts. Mother Teresa’s organisation ignores this prescription! It is not known if the Finance Ministry in Delhi who would be responsible for charities’ accounts, have the actual figures. Upon STERN’s inquiry, the Ministry informed us that this particular query was listed as “classified information”.

The organisation has 6 branches in Germany. Here too financial matters are a strict secret. “It’s nobody’s business how much money we have, I mean to say how little we have,” says Sr Pauline, head of the German operations. Maria Tingelhoff had had handled the organisation’s book-keeping on a voluntary basis until 1981. “We did see 3 million a year,” she remembers. But Mother Teresa never quite trusted the worldly helpers completely. So the sisters took over the financial management themselves in 1981. “Of course I don’t know how much money went in, in the years after that, but it must be many multiples of 3 million,” estimates Mrs Tingelhoff. “Mother was always very pleased with the Germans.”

Perhaps the most lucrative branch of the organisation is the “Holy Ghost” House in New York’s Bronx. Susan Shields served the order there for a total of nine and a half years as Sister Virgin. “We spent a large part of each day writing thank you letters and processing cheques,” she says. “Every night around 25 sisters had to spend many hours preparing receipts for donations. It was a conveyor belt process: some sisters typed, others made lists of the amounts, stuffed letters into envelopes, or sorted the cheques. Values were between $5 and $100.000. Donors often dropped their envelopes filled with money at the door. Before Christmas the flow of donations was often totally out of control. The postman brought sackfuls of letters — cheques for $50000 were no rarity.” Sister Virgin remebers that one year there was about $50 million in a New York bank account. $50 million in one year! — in a predominantly non-Catholic country. How much then, were they collecting in Europe or the world? It is estimated that worldwide they collected at least $100 million per year — and that has been going on for many many years.


Unlike with other charities, the Missionaries of Charity spend very little on their own management, since the organisation is run at practically no cost. The approximately 4000 sisters in 150 countries form the most treasured workforce of all global multi-million dollar operations. Having taken vows of poverty and obedience, they work for no pay, supported by 300,000 good citizen helpers.

By their own admission, Mother Teresa’s organisation has about 500 locations worldwide. But for purchase or rent of property, the sisters do not need to touch their bank accounts. “Mother always said, we don’t spend for that,” remembers Sunita Kumar, one the richest women in Calcutta and supposedly Mother T’s closest associate outside the order. “If Mother needed a house, she went straight to the owner, whether it was the State or a private person, and worked on him for so long that she eventually got it free.”


Because of the tightfistedness of the rich order, the “poorest of the poor” — orphans in India — suffer the most. The nuns run a home in Delhi, in which the orphans wait to be adopted by, in many cases, by foreigners. As usual, the costs of running the home are borne not by the order, but by the future adoptive parents. In Germany the organisation called Pro Infante has the monopoly of mediation role for these children. The head, Carla Wiedeking, a personal friend of Mother Teresa’s, wrote a letter to Donors, Supporters and Friends which ran:

“On my September vist I had to witness 2 or 3 children lying in the same cot, in totally overcrowded rooms with not a square inch of playing space. The behavioural problems arising as a result cannot be overlooked.” Mrs Wiedeking appeals to the generosity of supporters in view of her powerlessness in the face of the children’s great needs. Powerlessness?! In an organisation with a billion-fortune, which has 3 times as much money available to it as UNICEF is able to spend in all of India? The Missionaries of Charity has have the means to buy cots and build orphanages, — with playgrounds. And they have enoungh money not only for a handful orphans in Delhi but for many thousand orphans who struggle for survival in the streets of Delhi, Bombay and Calcutta.

Mother Teresa’s business was : Money for a good conscience. The donors benefitted the most from this. The poor hardly. Whosoever believed that Mother Teresa wanted to cahnge the world, eliminate suffering or fight poverty, simply wanted to believe it for their own sakes. Such people did not listen to her. To be poor, to suffer was a goal, almost an ambition or an achievement for her and she imposed this goal upon those under her wings; her actual ordained goal was the hereafter.

With growing fame, the founder of the order became somewhat conscious of the misconceptioons on which the Mother Teresa phenomenon was based. She wrote a few words and hung them outside Mother House:

“Tell them we are not here for work, we are here for Jesus. We are religious above all else. We are not social workers, not teachers, not doctors. We are nuns.”

One question then remains: For what, in that case, do nuns need so much money?
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However, when I first requested records on Mother Teresa, I never expected that the information would be classified. Below, you will find the signed letter given to me by the NSA, that shows that all information on Mother Teresa is classified TOP SECRET.
What could they be hiding?
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An Indian woman whose "miracle" cure from cancer was instrumental in the beatification of Mother Teresa of Calcutta has accused the Sisters of Charity of abandoning her to a life of penury.
...
"My hut was frequented by nuns of the Missionaries of Charity before the beatification of Mother Teresa," said Mrs Besra, squatting on the floor of her thatched and mud house in the village of Dangram, 460 miles northeast of Calcutta.
"They made of lot of promises to me and assured me of financial help for my livelihood and my children's education.
"After that, they forgot me. I am living in penury. My husband is sick. My children have stopped going to school as I have no money. I have to work in the fields to feed my husband and five children."
...
Mother Teresa's progress towards canonisation was questioned recently after it had emerged in letters written to her spiritual confidant that she had endured a deep crisis of faith late in life.
source

Mère Teresa a eu également ses détracteurs, qui lui ont reproché de s'être montrée peu regardante sur l'origine des donations qui lui étaient faites et d'avoir maintenu une opposition farouche à la contraception comme à l'avortement. Le pape François, qui l'avait rencontrée à l'occasion d'un synode en 1994 à Rome, a raconté en 2014 avoir été impressionné par sa force de caractère, tout en reconnaissant : « J'aurais eu peur si elle avait été ma supérieure. »
source

Mother Teresa apparently believed that suffering was ‘a gift from God’.
‘The problem is not a lack of money – the Foundation created by Mother Teresa has raised hundreds of millions of dollars – but rather a particular conception of suffering and death.
‘There is something beautiful in seeing the poor accept their lot, to suffer it like Christ’s Passion. The world gains much from their suffering,’ was her reply to criticism, cites Hitchens.
‘Nevertheless, when Mother Teresa required palliative care, she received it in a modern American hospital.’
source

Some of their references included medical journals and British journalist Christopher Hitchens, who called Mother Teresa a “fraud.”
Other researchers have criticized Mother Teresa’s efforts in the past. Mother Teresa: A Biography, written by Meg Greene and published in 2004, recounts an article by the Lancet medical journal that outlined the neglect and lack of expertise in a Calcutta facility established by Mother Teresa.
source
https://www.huffingtonpost.com/2013/03/04/mother-teresa-myth_n_2805697.html







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