Quelques conseils pour obtenir les informations les plus récentes de la FIGU et les informations de début avril concernant le coronavirus
Nous n'avons pas les moyens de traduire toutes les informations récentes fournies par Billy Meier. (depuis 40 ans, il a produit près de 40 000 pages d'écriture et continue à produire ses écrits sous forme de notes de contact, de diverses publications, et de livres).
Si vous voulez obtenir les dernières informations publiées par la FIGU sous forme de PDFs, vous pouvez vous abonner aux publications par un système d'abonnement en vous rendant sur le site suisse de la FIGU ( figu.org/ch/ ) et en renseignant votre adresse mail dans la rubrique de l'encadré FIGU newsletter. Il est possible de se désabonner à tout moment. (Pour s'abonner cocher Abonnieren, pour se désinscrire, cocher Abmelden - Puis cliquer sur Sauvegarder, Speichern).
La FIGU publie des informations spécifiques à la crise du coronavirus dans une rubrique accessible dans les onglets à droite du site. (Coronavirus Info)
Si vous n'êtes pas germanophone, nous préconisons trois sites qui permettent de faciliter la traduction :
- deepl.com qui fournit des traductions acceptables des textes que vous pourrez copier-coller du PDF. Lorsque vous cliquez sur un mot, deepl ( deepl.com/translator )vous fournit des traductions alternatives.
- Le dictionnaire Pons Allemand-Français ( fr.pons.com/traduction/allemand-fran%C3%A7ais ), un dictionnaire riche qui pourra donner des traductions précises de mots particuliers.
- Le site reverso context ( context.reverso.net/traduction/ ) qui trouvera parfois la traduction d'expressions nouvelles ou utilisées dans un contexte particulier qui pourraient échapper aux deux sites sus-cités.
Cela ne pourra pas totalement éviter un travail d'interprétation car les expressions utilisées par Billy Meier et sa façon de manier la langue allemande lui est propre et certaines expressions qu'il utilise n'existent nulle part ailleurs.
Si vous êtes anglophone, vous pouvez visiter les nombreux sites anglo-américains qui essaient de se mettre à jour rapidement par rapport aux dernières informations de la FIGU, le site canadien ca.figu.org, australien au.figu.org, le blog de Michael Horn aux états-Unis theyflyblog.com et bien d'autres sites comme futureofmankind.co.uk etc.
Certaines affirmations de Billy Meier données fin février et début mars ont déjà commencé à s'avérer par des articles scientifiques ou de "grands" médias :
- Les scientifiques commencent à se douter que le virus peut se propager de façon aérosol (simple respiration), par les vêtements, la nourriture etc.
- La période d'incubation peut dépasser 14 jours et atteindre plusieurs semaines et que les enfants peuvent être des "porteurs silencieux".
- Certaines personnalités officielles aux États-Unis et grand médias commencent à introduire l'idée que le virus aurait pu provenir d'un laboratoire.
- l'homme peut transmettre aux animaux (domestiques, d'élevage) et ... réciproquement !.
- Beaucoup de médias commencent à affirmer que la Chine a menti sur l'ampleur de l'épidémie à ses débuts (mais c'est le cas de tous les états)
- La vitamine C est utilisée à New York en intraveineuse pour aider les patients à se rétablir. Une expérimentation est en cours en Chine, qui donnera ses résultats en septembre.
- La pandémie frappe tous les pays sans exception.
- l'OMS a fini tardivement par reconnaître qu'il s'agissait d'une pandémie.
- La première souche est plus susceptible de toucher des ethnies asiatiques mais cette souche a muté et ses variations peuvent devenir plus agressives et ainsi ainsi se monter aussi dangereuses avec d'autres ethnies ou populations plus jeunes.
- Il devient évident aujourd'hui qu'une fermeture immédiate des frontières de chaque pays et l'isolement strict des personnes ayant contracté la maladie (avec des dispositifs de sécurité particuliers comme l'utilisation de combinaisons intégrales) aurait freiné la propagation du virus comme l'avaient conseillé les Plejaren dès le départ.
- Il devient aussi plus évident que les villes en particulier et la terre sont surpeuplées et que la pollution générée par nos modes de vie détruit la nature qui re-manifeste sa présence dès lors que les gens se confinent.
Bien sûr, c'est à chacun d'évaluer la véracité de ces informations. Quelques liens sont donnés sur le blog billymeiertraductionsfr.blogspot.com
Dans les contacts 731 et 734, nous apprenons que :
- La souche a muté et devient plus aggressive.
- La maladie touche les gens de façon différente car l'humanité est composée de différentes ethnies dont le capital génétique diffère, de plus le climat ou l'appartenance sociale pourraient jouer sur la façon dont les gènes s'expriment.
- A cet égard, si les métissages sont nécessaires entre peuples pour que le sang puisse se renouveler, un mélange trop rapide et amené de façon artificielle comme par exemple par des migrations de masse forcées peut comporter des dangers car des vulnérabilités génétiques peuvent apparaître en nombre.
- Le virus peut mieux se fixer sur des surfaces humides. Il est donc conseillé d'éviter d'acheter des fruits ou légumes "ouverts" ou coupés mais si ils ne le sont pas, il est possible de les laver pour les consommer.
- Encore une fois, les soignants devraient porter des tenues de protection intégrales et le port d'un masque assez dense et de qualité peut se révéler inutile si les yeux, qui offrent une zone réceptive humide particulière ne sont pas protégés par des lunettes hermétiques.
- Les Plejaren recommandent (chose qui semble impossible à mettre en place étant donné le stock de matériel disponible) de changer de tenue intégralement lorsque l'on passe d'un patient à l'autre puisque les germes expirés peuvent se déposer sur les vêtements.
- Des substances précieuses ont été mises au jour pour traiter le coronavirus après la première épidémie de SRAS mais elles n'ont pas été exploitées correctement.
- Le comportement laxiste des gouvernants et de la population ne fait qu'aggraver cette crise.
- Certaines variantes génétiques du virus peuvent rester de manière latente dans le corps pendant des années pour se manifester quelques année plus tard de manière insidieuse sous une forme complètement différente.
Selon Michael Horn ( theyflyblog.com ), des informations venant de la FIGU et confirmées par Christian Frehner ne sont pas encore publiées selon lesquelles :
- Tous les pays devraient imposer le confinement pour au moins 3 à 8 mois.
- Le nombre de personnes infectées est largement sous évalué et il faut multiplier le nombre officiel par 9 ou 10.
- Le confinement devrait inclure tous les secteurs d'activité à l'exception du transport de la nourriture, la médecine, l'énergie et le traitement des ordures ménagères.
- Il n'existe pas de véritable traitement à l'heure actuelle.
- 500 millions de personnes pourraient mourir si des mesures strictes de confinement ne sont pas implémentées.
- Les corps peuvent garder le virus longtemps après la mort, c'est pourquoi des solutions comme les fosses communes ou la crémation peuvent être envisagées.
- Si les gens sont illogiques, l'économie pourrait s'écrouler.
- Si les gens sont logiques, l'économie ne s'écroulera pas et seulement ainsi, pourrait-on avoir une chance contre le virus.
Nous laissons le lecteur apprécier la véracité de ces informations ou non. En tout cas, nous nous permettons d'ajouter que malheureusement, ce type d'informations détaillées et vérifiables distingue bien le message proposé par Billy Meier lors d'événement aussi graves, des autres cas d'OVNIs ou des prédictions ésotériques de soi-disant contactés ou illuminés. Cette crise grave semble être aussi un puissant catalyseur pour précipiter des événements également prévus dans les prophéties (effondrement économique, risque de guerres civiles, contrôle électronique de la population, augmentation des suicides etc. )
Pour les personnes qui seraient intéressées, le fait que les prophéties puissent se réaliser plus ou moins sont des signes qui doivent nous montrer quels sont les chemins à éviter et les Plejaren nous mettent face à nos responsabilités en nous donnant des indices sur les moyens de le faire.
Bonnes Pâques malgré tout, sachant que selon la version du Talmud de Jmmanuel, Jmmanuel après avoir vécu une EMI, se fait guérir grâce à des baumes, des herbes et des jus curatifs par des amis indiens qui s'introduisent dans le tombeau par une porte dérobée et s'échappe au bout de trois jours en utilisant cette issue.
Les liens cités sont donnés ci-dessous.
Sites FIGU et relatifs à Billy Meier
https://www.figu.org/ch/https://www.figu.org/ch/index/downloads/coronavirus
https://ca.figu.org/
http://au.figu.org/
https://theyflyblog.com/
http://www.futureofmankind.co.uk/Billy_Meier/Main_Page
http://beam2eng.blogspot.com/
https://creationaltruth.org/
https://billymeier.wordpress.com/
Sites de traduction
https://www.deepl.com/translatorhttps://fr.pons.com/traduction/allemand-fran%C3%A7ais/franco-allemand
https://context.reverso.net/traduction/allemand-francais/
Qq traductions françaises
http://billymeiertraductionsfr.blogspot.com/2020/04/contact-731-masques-de-protection.htmlhttp://billymeiertraductionsfr.blogspot.com/2020/04/contacts-731-et-734.html
http://billymeiertraductionsfr.blogspot.com/2020/03/contact-729.html
http://billymeiertraductionsfr.blogspot.com/2020/03/sras-2-covid-19-informations.html
http://billymeiertraductionsfr.blogspot.com/2020/02/sras-2.html
http://billymeiertraductionsfr.blogspot.com/2019/12/confirmations-scientifiques-12.html
http://billymeiertraductionsfr.blogspot.com/2020/04/desiderata.html
mise-à-jour 12 avril 2020
Est-ce la même chose avec le Covid-19 ?
Concernant le coronavirus, "on voit généralement ces anticorps séro-neutralisants apparaître dans les deux à trois semaines, mais il faut parfois attendre un peu plus longtemps", explique Eric Vivier. Selon le professeur Jean-François Delfraissy, président du conseil scientifique sur le Covid-19, ces anticorps pourraient même n'apparaître que 28 jours après la contamination initiale, notamment chez les sujets asymptomatiques. Un test sérologique réalisé trop tôt sur un patient contaminé pourrait donc donner un résultat faussement négatif. "Un contrôle à trois semaines, voire plus, est donc indispensable", explique Johan Joly, médecin biologiste au laboratoire Biolam de Beauvais (Oise), qui propose déjà des tests sérologiques.
Autre inconnue : pendant combien de temps cette immunité peut-elle durer ? L'épidémie de Covid-19 est trop récente pour répondre avec le recul nécessaire. Les spécialistes ne peuvent donc s'appuyer que sur les durées d'immunité observées pour d'autres coronavirus, explique Frédéric Tangy, responsable de l'unité de génomique virale et vaccination à l'institut Pasteur, au Quotidien du médecin.
Il est probable que chez tous les gens qui ont été infectés, l'immunité dure 3 à 6 mois. Si elle durait moins, ce serait exceptionnel pour un virus de ce genre.Frédéric TangyLe Quotidien du médecin
...
En Chine, des cas de personnes positives au Covid-19 plusieurs semaines après leur guérison ont été rapportés. En France, l'infectiologue Christian Perronne alertait fin mars, sur BFMTV : "On commence à voir des personnes guéries qui une ou deux semaines après redémarrent des symptômes." A ce stade, il est cependant impossible de savoir si ces personnes ont été contaminées une deuxième fois par le virus (ce qui signifierait qu'elles n'avaient pas développé d'immunité), ou bien si la charge virale n'avait en réalité pas été totalement éradiquée.
https://www.francetvinfo.fr/sante/maladie/coronavirus/positif-au-covid-19-donc-immunise-contre-la-maladie-on-vous-explique-pourquoi-ce-n-est-pas-si-simple_3908565.html
Coronavirus : certaines formes graves sont-elles liées à un facteur génétique ?
Si la plupart des infections graves de coronavirus touchent des personnes âgées ou présentant d'autres pathologies, des individus jeunes et en bonne santé meurent eux-aussi. Invité d'Europe 1 samedi, le professeur Jean-Laurent Casanova, immunologiste et professeur de pédiatrie, travaille sur l'hypothèse d'un facteur génétique rendant plus ou moins résistant au virus.
INTERVIEW
Nous ne somme pas égaux face au Covid-19. D'après les informations qui remontent du terrain, l'infection est étrangement sélective : à âges et états de santé comparables, deux individus pourraient développer des formes tout à fait différentes de la maladie. Partant de cette observation, l'immunologiste et professeur de pédiatrie à l'hôpital Necker de Paris Jean-Laurent Casanova étudie avec ses équipes l'hypothèse de "variations génétiques" expliquant l'apparition de formes graves.
"On parle de variations génétiques et non-plus de 'mutations'", pose le professeur Jean-Laurent Casanova, samedi au micro d'Europe 1. Son hypothèse de l'existence de prédispositions génétiques s'appuie sur des travaux antérieurs réalisés sur d'autres maladies infectieuses. "[Ils] ont montré que la grippe maligne, la tuberculose ou les infections virales du cerveau répondent dans une proportion non-négligeable à des variations génétiques qui créent une sensibilité à tel ou tel agent infectieux."
Identifier un "gène candidat"
L'immunologiste et ses équipes de travail, disséminées entre Paris et New York, réalisent donc actuellement une étude à partir d'un groupe témoin de personnes âgées de moins de 50 ans et sans maladie pré-existante. "Nous avons réalisé un recrutement international, en Asie, Inde, Europe du Sud, Proche-Orient, Afrique du Nord, Amériques", explique Jean-Laurent Casanova. "Une fois que les malades sont recrutés, nous séquençons leur génome et nous analysons collectivement toutes ces données."
L'objectif est, à terme, d'identifier des "gènes candidats", c'est à dire des variations qui seraient responsables des formes graves de Covid-19.
Mais le travail des chercheurs devrait se poursuivre encore plusieurs mois, voire années, du propre aveu du professeur. Rappelant que la littérature scientifique portant sur le nouveau coronavirus est pour l'instant peu fournie, il ajoute : "On sait très peu de choses. Il faut laisser les scientifiques et les médecins faire leur travail."
https://www.europe1.fr/sante/les-formes-graves-du-coronavirus-pourraient-resulter-de-variations-genetiques-3961319#la_comment_europe1_2934225
Wuhan lab was performing coronavirus experiments on bats from the caves where the disease is believed to have originated - with a £3m grant from the US
Wuhan Institute of Virology undertook coronavirus experiments on bats
They were captured more than 1,000 miles away in Yunnan
Sequencing of the Covid-19 genome has traced it to bats from Yunnan's caves
Accident at the laboratory in the Chinese city was 'no longer being discounted'
The laboratory at the centre of scrutiny over the pandemic has been carrying out research on bats from the cave which scientists believe is the original source of the devastating outbreak.
Documents obtained by The Mail on Sunday show the Wuhan Institute of Virology undertook coronavirus experiments on mammals captured more than 1,000 miles away in Yunnan – funded by a $3.7 million grant from the US government.
Sequencing of the Covid-19 genome has traced it to bats found in Yunnan's caves.
It comes after this newspaper revealed last week that Ministers here now fear that the pandemic could have been caused by a virus leaking from the institute.
Senior Government sources said that while 'the balance of scientific advice' was still that the deadly virus was first transmitted to humans from a live animal market in Wuhan, an accident at the laboratory in the Chinese city was 'no longer being discounted'.
According to one unverified claim, scientists at the institute could have become infected after being sprayed with blood containing the virus, and then passed it on to the local community.
Now The Mail on Sunday has learned that scientists there experimented on bats as part of a project funded by the US National Institutes of Health, which continues to licence the Wuhan laboratory to receive American money for experiments.
Results of the research were published in November 2017 under the heading: 'Discovery of a rich gene pool of bat SARS-related coronaviruses provides new insights into the origin of SARS coronavirus.'
The exercise was summarised as: 'Bats in a cave in Yunnan, China were captured and sampled for coronaviruses used for lab experiments.
'All sampling procedures were performed by veterinarians with approval from the Animal Ethics Committee of the Wuhan Institute of Virology.
'Bat samplings were conducted ten times from April 2011 to October 2015 at different seasons in their natural habitat at a single location (cave) in Kunming, Yunnan Province, China. Bats were trapped and faecal swab samples were collected.'
Another study, published in April 2018, was titled 'fatal swine acute diarrhoea syndrome caused by an HKU2-related coronavirus of bat origin' and described the research as such: 'Following a 2016 bat-related coronavirus outbreak on Chinese pig farms, bats were captured in a cave and samples were taken.
Experimenters grew the virus in a lab and injected it into three-day-old piglets. Intestinal samples from sick piglets were ground up and fed to other piglets as well.'
Senior Ministers say that while the latest intelligence does not dispute the virus was 'zoonotic'– originating in animals – it no longer rules out that the virus first spread to humans after leaking from a Wuhan laboratory.
Last week, further doubt was cast on the animal market theory after Cao Bin, a doctor at the Wuhan Jinyintan Hospital, highlighted research showing that 13 of the first 41 patients diagnosed with the infection had not had any contact with the market. 'It seems clear that the seafood market is not the only origin of the virus,' he said.
The £30 million Wuhan Institute of Virology, the most advanced laboratory of its type on the Chinese mainland, is based ten miles from the now infamous wildlife market.
https://www.dailymail.co.uk/news/article-8211257/Wuhan-lab-performing-experiments-bats-coronavirus-caves.html
Where have patients tested positive for COVID-19 after seeming to have recovered?
A study on recovered COVID-19 patients in the southern Chinese city of Shenzhen found that 38 out of 262, or almost 15% of the patients, tested positive after they were discharged. They were confirmed via PCR (polymerase chain reaction) tests, currently the gold standard for coronavirus testing. The study has yet to be peer reviewed, but offers some early insight into the potential for re-infection. The 38 patients were mostly young (below the age of 14) and displayed mild symptoms during their period of infection. The patients generally were not symptomatic at the time of their second positive test.
In Wuhan, China, where the pandemic began, researchers looked at a case study of four medical workers who had three consecutive positive PCR tests after having seemingly recovered. Similar to the study in Shenzhen, the patients were asymptomatic and their family members were not infected.
Outside of China, at least two such cases have also been reported in Japan (including one Diamond Princess cruise passenger) and one case was reported in South Korea. All three of them reportedly showed symptoms of infection after an initial recovery, and then re-tested as positive.
https://www.msn.com/en-us/health/health-news/can-you-be-re-infected-after-recovering-from-coronavirus-heres-what-we-know-about-covid-19-immunity/ar-BB128fqb
Clinical characteristics of the recovered COVID-19 patients with re-detectable positive RNA test
Background It has been reported that several cases recovered from COVID-19 tested positive for SARS-CoV-2 after discharge (re-detectable positive, RP), however the clinical characteristics, significance and potential cause of RP patients remained elusive.
Methods A total of 262 COVID-19 patients were discharged from January 23 to February 25, 2020, and were enrolled for analysis of their clinical parameters. The RP and non-RP (NRP) patients were grouped according to the disease severity during their hospitalization period. The clinical characterization at re-admission to the hospital was analyzed. SARS-CoV-2 RNA and plasma antibody levels were detected using high-sensitive detection methods.
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Added value of this study
First, the young and mild COVID-19 patients are prone to be tested positive for SARS-CoV-2 after discharge. These patients display fewer symptoms, more sustained remission of CT imaging and earlier RNA negative-conversion but similar plasma antibody levels during the hospitalization period as compared to those NRP patients. Second, upon re-admission, these patients show no obviously clinical symptoms and disease progression. However, the hyper-sensitive detection method potentially recognized false negative by the commercial kit.
Implications of all the available evidence
The current evidence strongly supports the effective management of COVID-19 patients during their convalescent phase.
cases recovered from COVID-19 tested positive for SARS-CoV-2 after discharge (re-detectable positive, RP)
https://www.medrxiv.org/content/10.1101/2020.03.26.20044222v1.full.pdf
WHO is investigating reports of recovered COVID patients testing positive again
GENEVA (Reuters) - The World Health Organization (WHO) said on Saturday that it was looking into reports of some COVID-19 patients testing positive again after initially testing negative for the disease while being considered for discharge.
South Korean officials on Friday reported 91 patients thought cleared of the new coronavirus had tested positive again. Jeong Eun-kyeong, director of the Korea Centers for Disease Control and Prevention, told a briefing that the virus may have been “reactivated” rather than the patients being re-infected.
https://www.reuters.com/article/us-health-coronavirus-who/who-is-investigating-reports-of-recovered-covid-patients-testing-positive-again-idUSKCN21T0F1
Bien que le reportage suivant comporte des éléments de propagande, cetains faits semblent bien documentés :