Phobol Cheng

Phobol Cheng

Introduction 

Billy Meier bénéficie d'un témoin d'une extrême importance : Phobol Cheng.
Elle était une enfant lorsque Billy Meier suivait l'enseignement en Inde à l'Ashoka Ashram, place fondée par le grand père de Phobol Cheng.
Non seulement Phobol Cheng était diplomate cambodgienne pour les Nations-Unies, mais son grand-père fut l'un des plus illustres représentant de l'enseignement bouddhiste.

Phobol Cheng a décidé de témoigner une fois sa carrière diplomatique terminée.  Elle risquait bien sûr la dérision pour témoigner en faveur de Billy Meier (qui pose ci-dessous avec l'un des singes qui vivaient avec lui lors de son séjour en Inde).

Au début à l'Ashoka Ashram lorsqu'elle était enfant, elle ne parlait jamais à Billy Meier qui était un étranger (ce qui était dû à son éducation de jeune fille en Inde).  Elle avait cependant remarqué son regard extrêmement pénétrant. Puis elle et son frère ont fini par sympathiser avec lui. Il laissait son frère apprendre des tours avec le singe.  Il s'occupait très bien du singe, le faisant passer devant lui quand ses moyens réduits ne pouvaient pas lui permettre de subvenir complètement à ses besoins.

Plus tard, Phobol Cheng a poursuivi une carrière diplomatique et complètement perdu de vue Billy Meier depuis qu'elle avait quitté l'Inde. Elle a poursuivi sa carrière aux États-Unis et n'a jamais voulu parlé d'Ovnis. Lorsqu'elle est tombée sur le livre de Gary Kinder et a reconnu le nom d'Ashoka Ashram. Elle a alors décidé de recontacter Billy Meier, ce qu'elle a réussi à faire, en trouvant les coordonnées de Wendelle Stevens. Elle savait que Billy avait un singe et c'est ainsi qu'elle put se faire reconnaître.

Phobol Cheng a hésité avant de sortir de l'anonymat.  Non seulement elle avait assisté à des apparitions régulière d'Ovnis sur l'Ashoka Ashram, mais, Asket, la deuxième guide extra terrestre de Billy Meier venait la voir elle et son frère, régulièrement au coucher, et c'était devenu quelque chose de normal pour elle.

Plus encore, son grand-père était un contacté. D'après son témoignage,  elle avait vu deux Plejarens lui rendre visite, qui ont soudain disparu de sa vue lorsqu'elle est arrivée. Ils remerciaient son grand-père de dispenser l'enseignement à Billy Meier. Ce fut d'ailleurs aussi le cas par exemple du père Zimmerman qui fut le premier tuteur terrien de Billy Meier.

Il est important de noter que les Plejarens reconnaissent que Bouddha est l'un des terriens qui a trouvé la vérité par lui-même, que l'enseignement bouddhique non dénaturé (car certains seraient dénaturés) est en fait l'enseignement le plus proche du leur (on ne parle pas de religions, qui elles sont critiquées par Billy Meier : la démarche doit venir de l'intérieur et non de l'extérieur comme une vérité révélée).

Extrait d'une conférence donnée par Phobol Cheng en 1999 pour présenter le cas Meier, avec un témoignage supplémentaire de sa tutrice Sashi Raj

Extrait traduit d'un article de Michael Hesemann

En Octobre 1996, la Société Internationale Humaniste et l'équipe SEAT de l'ONU m'a invité moi, Michael Hesemann, à présenter un exposé à leur groupe au siège de l'Organisation des Nations Unies. La conférence qui s’est tenue sous la forme d'une petite conférence où Carlos Diaz, Madeleine Rodeffer, et le colonel Colman De Keviczky ont aussi parlé. Après l'événement une dame m'a approché et se présenta comme membre de la délégation ONU d'un pays d'Asie du Sud-Est. Elle m'a demandé si je connaissais Billy Meier, ce que je confirmai bien sûr. Elle voulait entendre mon opinion sur lui, et je lui répondis que j’étais convaincu de l'authenticité des contacts. Son visage amical s’est littéralement illuminé puis elle me révéla son histoire :

Elle avait connu Billy Meier Quand il vivait en Inde. Entre Avril et Septembre 1964, Meier avait entrepris un de ses voyages à travers le monde. Alors jeune homme, il a visité 42 pays, principalement en autostop. Il est arrivé à l'Ashoka Ashram à Mehrauli près de New Delhi pour étudier le bouddhisme. La Mission Ashoka là-bas, fondée par le roi Ashoka au 3e siècle avant Jésus-Christ, est la plus ancienne école bouddhiste.



Son chef est aujourd'hui le très respecté (vénérable ?) Banthe Dharmawara, qui a récemment célébré son 109e anniversaire en Californie en bonne santé. Au monastère Meier, se lia d'amitié avec les petits-enfants de  Dharmawara qui ont fui en Inde lorsque la guerre civile a éclaté dans leur propre pays. une des petits-enfants est la dame qui m'a approché à New York. Elle est maintenant une diplomate reconnue. [Mais à partir de 2003, elle a pris retraite de son poste diplomatique, s’est mariée et vit à New York.] Et, d'ailleurs, son frère celui qui a appris Meier comment attraper les serpents. Cela aussi était donc vrai! Auparavant, j'avais toujours souri un peu quand Meier affirmait qu'il avait occupé des centaines d'emplois ors de ses voyages et parmi ceux-ci attrapeur de serpent.

Pendant le dîner indien élaboré, auquel elle me convia, la dame me racontai: «En ces jours nous tous à la Mission avons vu les vaisseaux spatiaux» et Meier était en contact avec leurs pilotes. De plus, elle l'avait vu «marcher dans la cour de l'Ashram, accompagné d'une femme aux cheveux longs, brune, vêtue d'une sorte de combinaison spatiale.» Son grand-père avait eu l’occasion de parler avec les visiteurs extraterrestres. J'ai écouté cette dame en retenant mon souffle et lui fit la promesse de garder son nom confidentiel et de ne mentionner son pays natal à personne. Elle ne voulait tout simplement pas de publicité en raison de la nature sensible de sa position diplomatique.

Son rang important dans la délégation ONU de son pays me fut confirmé plus tard par des amis à moi, qui étaient ses collègues à l'ONU. Aussi, la dame m’a donné l’impression d’être lucide, éthique, cordiale et honnête. J'ai découvert, aussi, qu'elle avait précédemment révélé des informations identiques au chercheur américain Wendelle Stevens après une de ses conférences à New York. Parce qu'elle voulait renouveler son contact avec Meier, je lui ai communiqué son adresse.

Les contacts de Meier en Inde ont fait l’objet une enquête sur place par l'un des plus célèbre chercheurs UFO du monde, Timothy Good, violoniste anglais au London Symphony Orchestra, qui jouait à Delhi à l'époque. Au cours de son séjour là-bas, par hasard, un journal local, The Statesman, a rapporté les contacts de Meier. «Non seulement J’ai vu les vaisseaux de l'espace, je les ai photographiés et pilotés de l'intérieur" avait déclaré le Suisse au journal et de continuer avec «J'ai une mission à remplir." Par la suite, Good se rendit en voiture à Mehrauli et rencontra les gens là qui étaient au courant des contacts de Meier "avec la fille de l'espace." Ils l'ont décrit comme étant «éthique et plein d'enthousiasme." Chose intéressante, c’était cette jeune femme de l'espace, nommée Asket d’après Meier, avec laquelle la diplomate de l'ONU avait vu Meier se promener! ...
Original :
In October 1996 the International Humanistic Society and the UN's SEAT team invited me, Michael Hesemann, to present a talk to their group at the Headquarter of the United Nations. The lecture was held in the format of a small conference where Carlos Diaz, Madeleine Rodeffer, and Colonel Colman Von Keviczky also spoke. After the event a lady approached me and introduced herself as a member of the UN delegation of a South-East Asian country. She asked me whether I knew Billy Meier, and I confirmed this fact of course. She wanted to hear my opinion of him, and I replied I was convinced of the contacts' authenticity. Her friendly face literally lit up and then she revealed her story to me:

She had known Billy Meier when he lived in India. Between April and September 1964, Meier had taken one of his trips around the world. As a young man he visited 42 countries, mostly as a hitchhiker. He arrived at the Ashoka-Ashram in Mehrauli near New Delhi to study Buddhism. The Ashoka Mission there, founded by King Ashoka in the 3rd Century B.C., is the oldest Buddhist school.


The chief witness with her grandfather, V.B. Dharmawara,and her younger brother, circa 1967. All three were

witnesses of Asket with Meier, and Asket's UFOs, in 1964.

Its leader today is the highly respected V.B. Dharmawara, who recently celebrated in California his 109th birthday in good health (but died in 2004 or 2005). In the monastery Meier befriended the Dharmawara’s grandchildren who had previously fled to India when civil war broke out in their own country. one of these grandchildren was the lady who approached me in New York. She is now an esteemed diplomat. [But as of 2003 she is retired from her diplomatic post, has married and is living in New York City.] And, incidentally, her brother was the one who taught Meier how to catch snakes. So this, too, was true! Until this time I had always smirked a bit when Meier claimed he had performed hundreds of jobs on his trips—among them that of a snake catcher.

During an elaborate Indian dinner, to which she had invited me, the lady recounted: “In those days all of us at the Mission saw the spaceships” and Meier was in contact with their pilots. Additionally, she had seen him “walking across the court yard of the Ashram accompanied by a woman with long, brunette hair, dressed in a type of spacesuit.” Her grandfather also had been provided with opportunities to speak with the extraterrestrial visitors. I listened to this lady with baited breath and made a promise to her that I would keep her name confidential and would not mention her homeland to anyone. She simply did not want the publicity due to the sensitive nature of her diplomatic position.

Her important rank in her country's UN delegation was later confirmed to me by friends who were UN colleagues of hers. Also, the lady came across as lucid, ethical, cordial and honest. I found out, too, that she had previously revealed the identical information to U.S. researcher Wendelle Stevens after one of his lectures in New York. Because she wished to renew her contact with Meier, I provided her with his address.

Meier’s contacts in India were actually investigated on location by one of the world’s most renowned UFO researchers, Timothy Good, an English violinist with the London Symphony Orchestra, which was performing in Delhi at the time. During his stay there, by chance, a local newspaper The Statesman reported Meier’s contacts. “Not only have I seen objects from space, I have also photographed them and flown inside them,” the Swiss man had stated to the newspaper and continued with, “I have an assignment to fulfill.” Good later drove to Mehrauli and met people there who were aware of Meier’s contacts “with the girl from space.” They described him as being “ethical and full of enthusiasm.” Interestingly enough, it was this young woman from space, named Asket according to Meier, with whom the UN diplomat had seen Meier walking around! ....

Sources

http://www.futureofmankind.co.uk/Billy_Meier/Best_evidence_article,_Internet,_January_2009
https://en.wikipedia.org/wiki/Bhante_Dharmawara
https://books.google.fr/books?id=widVy77KqFwC&pg=PA89&lpg=PA89&dq=banthe+dharmawara&source=bl&ots=6nWiKTF6oN&sig=-roWqY_Rqu-01-J5DAi9B8CKlww&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwi8gebVrbPLAhXK2RoKHZG7D3cQ6AEIOTAE#v=onepage&q=banthe%20dharmawara&f=false
https://books.google.fr/books?id=r20quYrKUvUC&pg=PA236&lpg=PA236&dq=banthe+dharmawara&source=bl&ots=0QfbQv5rNE&sig=A4FKhJTmFXTPOaXQeOPUSzTuPQk&hl=fr&sa=X&ved=0ahUKEwi8gebVrbPLAhXK2RoKHZG7D3cQ6AEIPjAF#v=onepage&q=banthe%20dharmawara&f=false
http://www.nytimes.com/1999/07/18/us/bellong-mahathera-is-dead-cambodian-monk-was-110.html

Liens vidéos

Phobol Cheng présentant l'Ashoka Ashram :
https://www.youtube.com/watch?v=wjv_gI9Z7ew
Phobol Cheng et Billy Meier au centre SSSC :
https://www.youtube.com/watch?v=rTY0whbJ8oA
Phobol Cheng interrogée par Michael Hesemann à New York :
https://www.youtube.com/watch?v=FALKzTwfOFw
Interview du grand-père de Phobol Cheng :